INTERVIEW - Interrogé par Téléfoot lors du match amical entre l'équipe de France et la Côte d'Ivoire mardi dernier à Lens (0-0), le défenseur parisien est revenu sur les affaires qui ont agité son actualité ces derniers mois. Et Serge Aurier s'est laissé aller à une confidence déroutante.
Un hommage un peu maladroit. Questionné sur le scandale provoqué par sa célèbre sortie sur Periscope en février dernier - durant laquelle Serge Aurier avait, entre autres, traité Laurent Blanc de "fiotte" - le défenseur ivoirien a encore une fois assumé et regretté cette erreur. Mais, alors qu'il voulait visiblement renvoyé l'ascenseur à son président Nasser Al-Khelaïfi qui a décidé de le conserver à Paris, Aurier a lâché au micro de Téléfoot un drôle de constat.
Un président normal aurait pris des sanctions graves"
Serge Aurier, au sujet de Nasser Al-Khelaïfi
"Il m'aime beaucoup, je ne sais pas trop pourquoi, a notamment expliqué le joueur. J'ai été surpris (au moment de l'affaire Periscope), un président normal aurait pris des sanctions graves, mais il m'a toujours soutenu, c'est grâce à lui que je suis encore là aujourd'hui." Ou comment en voulant se montrer sympa, Serge Aurier laisse entendre que ses dirigeants n'ont pas été assez sévères avec lui...
Serge #Aurier : "Mon avenir est encore à Paris mais ça fait plaisir qu’un club comme le #Barca soit intéressé" @PSG_inside #Telefoot pic.twitter.com/tJGZvm9upb — Téléfoot (@telefoot_TF1) 20 novembre 2016