"Je l'ai tenu dans mes bras jusqu'au bout", Sylvie Ortega Munos revient sur la disparition de Ludovic Chancel

Publié le 18 juillet 2017 à 23h27, mis à jour le 19 juillet 2017 à 10h11
"Je l'ai tenu dans mes bras jusqu'au bout", Sylvie Ortega Munos revient sur la disparition de Ludovic Chancel

AMOUR ETERNEL - Dans la nuit du 7 au 8 juillet, le fils de Sheila, Ludo­vic Chan­cel mourait dans son appartement parisien. Présente au moment du drame, c'est sa fian­cée, Sylvie Ortega Munos qui a alerté les secours. Elle raconte aujourd'hui dans Gala les derniers instants passés auprès de lui.

"Je suis incon­­so­­lable. Ma douleur est immense. Je t’ai embrassé jusqu’à ton dernier souffle. Je t’aime mon petit bébé d’amour, à l’in­­fini, toujours et pour toujours". C'était le 8 juillet dernier, quelques heures seulement après le décès de Ludovic Chancel. Sa compagne, le mannequin Sylvie Ortega Munos avait publié un vibrant message d'amour sur Face­book. Ce mercredi, au lendemain des obsèques du fils de Sheila à l'église de Notre dame d'Ey­lau à Paris, la jeune femme s'est confiée dans le magazine Gala, histoire de continuer à rendre vivant celui qu'elle a tant aimé.

Mon bébé est mort dans mes bras. Par deux fois. A la maison et à l’hô­pi­tal.
Sylvie Ortega Munos

"Je veux aujourd’­hui qu’on mette vrai­ment Ludo dans la lumière, car c’était un amour vous savez. Sa mala­die pouvait parfois en faire un diable, mais le plus souvent, c’était l’être le plus merveilleux et géné­reux que j’aie rencon­tré", raconte-t-elle dans Gala à paraître jeudi. Voilà le combat que Sylvie Ortega Munos a décidé de mener. Et pour cela la jeune femme entend bien battre en brêche les ragots qui courent depuis le décès de son amoureux.

Ludo­vic Chan­cel s'est-il suicidé comme les médias avaient pu un temps l'annoncer ? "Non", affirme-t-elle aux journalistes de Gala venus l'interroger, avant de préci­ser : "Pour le moment, on ne sait pas ce qui s’est passé. La seule certi­tude, c’est que, ces derniers temps, il était très fati­gué. Mon bébé est mort dans mes bras. Par deux fois. A la maison et à l’hô­pi­tal. J’ai passé les deux jours là-bas à l’em­bras­ser, à le masser, à lui parler, à le chérir, à le supplier de reve­nir… Un enfer… Un enfer… "

Effondrée, elle poursuit : "J'ai voulu croire qu'il aurait une chance de s'en sortir, lâche-t-elle, je ne faisais que prier, lui tenir la main et lui dire de ne pas me lais­ser. Mais non. Il n’y avait aucune chance."


La rédaction de TF1info

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