FEUILLETON - Nicolas Bedos a affirmé au "Scan" du Figaro que François Hollande l'avait joint tôt jeudi matin pour discuter du canular de sa "liaison" avec Valérie Trierweiler. L'Elysée dément catégoriquement.
Une farce dans la farce ? Contacté jeudi matin par le "Scan" du Figaro pour revenir sur son coup d'éclat de mercredi soir, l'énorme canular de sa liaison avec Valérie Trierweiler, Nicolas Bedos a affirmé avoir reçu un peu plus tôt un coup de fil de... François Hollande en personne. Un appel "très sympathique et drôle", selon l'humoriste, même si "la réaction Elyséenne a d'abord été assez virulente" : "C'était une satire et ils en font une affaire d'état", a-t-il confié au quotidien.
Cette fois, "ce n'est pas un canular"
Le chroniqueur et comédien, qui avait dévoilé à a fin du talk-show d'Alessandra Sublet que sa relation de 17 mois avec Valérie Trierweiler était "une grosse connerie" destinée à dénoncer "la peopolisation de la politique", l'assure : cette fois, "ce n'est pas un canular". Mais de leur côté, les services de l'Elysée, joints dans la foulée par le quotidien, démentent "de façon catégorique" que ce coup de fil a eu lieu. Nicolas Bedos, lui, maintient. Qui dit vrai ? En entretenant ainsi le buzz, l'humoriste a en tout cas
une nouvelle fois réussi son coup
.