Collapsologie

Pour certains chercheurs, l’effondrement du monde est irréversible. Regroupés sous le néologisme de "collapsologues", dérivé de "collapsologie", ces experts, venus de tous horizons et s’appuyant sur des travaux rigoureux, ont déjà anticipé la destruction de notre écosystème.

Environnement
Coronavirus : les collapsologues ont-ils vu juste ?

Coronavirus : les collapsologues ont-ils vu juste ?

Sans jouer les devins, les adeptes de la collapsologie croient à l’effondrement progressif de notre société. Ils continuent de préparer le monde d'après en se disant qu'il a sans doute déjà commencé.

Environnement
LA FIN D'UN MONDE (1/6) : Nos sociétés sont-elles au bord de l’effondrement ?

LA FIN D'UN MONDE (1/6) : Nos sociétés sont-elles au bord de l’effondrement ?

COLLAPSOLOGIE – En raison du dérèglement climatique et de l’épuisement inéluctable de nos ressources naturelles, la collapsologie - un courant de pensée qui tente d’examiner l’état de la planète - prédit un effondrement de nos sociétés industrielles d’ici quelques années. Une vision angoissante de l’avenir qui va jusqu’à poser la question de la survie de l’homme sur Terre. Explications.

Environnement
LA FIN D'UN MONDE (4/6) - Qui est Pablo Servigne, apôtre de l'effondrement et père de la collapsologie ?

LA FIN D'UN MONDE (4/6) - Qui est Pablo Servigne, apôtre de l'effondrement et père de la collapsologie ?

ÉLECTROCHOC - Depuis "Comment tout peut s'effondrer", paru en 2015, ce docteur en biologie de 40 ans est présenté comme l'apôtre de l'effondrement. Ses idées infusent au sein d'une génération sensibilisée aux questions environnementales, sans pour autant avoir l'expérience des luttes écologiques passées. Portrait du père de la collapsologie.

Environnement
LA FIN D’UN MONDE (5/6) - Entre écologie et confort de vie, le paradoxe scandinave

LA FIN D’UN MONDE (5/6) - Entre écologie et confort de vie, le paradoxe scandinave

PARADOXAL - Régulièrement vantés pour leurs politiques écologiques et leur volontarisme en matière de défense de l’environnement, les pays scandinaves n’en demeurent pas moins de (très) gros consommateurs de ressources. Focus sur le cas de la Suède, un "modèle" pas si exemplaire.

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