REPLAY - Le chanteur et son partenaire ont bouleversé les juges ce vendredi 19 novembre avec un "American smooth" tout en douceur, loin de la puissance et de l'énergie de la samba qu'ils ont dansé en début de soirée.
Le redoutable Chris Marques en parle comme d'une "performance digne d'une demi-finale". Bilal Hassani a montré une nouvelle facette de lui ce vendredi 19 novembre. "C'était une autre couleur, un autre Bilal, plus délicat", note François Alu.
La chorégraphie en question ? Un American smooth au son de "Creep" de Radiohead. Un titre aux paroles évocatrices pour celui qui a mis du temps à trouver la place qui est la sienne. "J’ai l’impression que c’était de la dentelle ce que tu faisais. C’était très aérien, très doux", poursuit François Alu quand Denitsa Ikonomova dit avoir "trouvé ça tellement poétique, tellement lyrique, tellement beau" et "très élégant".
Dans un décor bleuté, Bilal Hassani et son partenaire Jordan Mouillerac ont virevolté presque sans faille. Presque, car un léger déséquilibre du chanteur aurait pu l'entraîner la tête la première au sol en milieu de prestation. "Quand tu as fait la planche, j’ai vu le poids du corps qui partait, mais tu as rattrapé ça divinement bien", remarque François Alu qui voit là la qualité d'un "grand danseur". "Tu as fait une flexion et tu as dit 'Je tiens, cette finale elle est pour moi !' Chapeau, mental d’acier ! Tu es un exemple", poursuit-il.
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"Il s’en veut parce qu'il a fait des petites erreurs. Mais mec, t’en veux pas ! c’était un pur kiff !", le rassure Jordan Mouillerac. Leur duo, qui fonctionne à merveille, a besoin de franchir un cran supplémentaire pour "aller plus loin", selon Chris Marques qui les invite à penser à leur "ligne de couple" dans leurs mouvements. "En tant qu’individus vous êtes géniaux, maintenant on va aller chercher cette magie additionnelle", insiste-t-il. Objectif ? Séduire le public et décrocher le trophée remis aux vainqueurs.