Yvelines : un violeur et agresseur sexuel en série arrêté grâce à son ADN

Publié le 21 octobre 2015 à 18h05
Yvelines : un violeur et agresseur sexuel en série arrêté grâce à son ADN

FAIT DIVERS - Un peintre en bâtiment de 25 ans a été interpellé. Il est soupçonné d’avoir commis une série de viols et d’agressions sexuelles entre 2012 et 2014.

Pendant longtemps, les policiers ont cherché son identité. Il est soupçonné d’avoir commis une série de viols et d’agressions sexuelles sur des femmes âgées de 14 à 50 ans. Mardi matin, le groupe criminel de la Sûreté départementale des Yvelines a interpellé un peintre en bâtiment de 25 ans, à Maintenon, en Eure-et-Loir. 

L’homme aurait commis ses forfaits dans les Yvelines et en Eure-et-Loir entre juillet 2012 et janvier 2014. D’après le Parisien et Info Normandie , qui révèlent l’affaire, le peintre aurait été identifié grâce à… son ADN, relevé sur l’une de ses premières victimes. La femme de 50 ans faisait un footing à Rambouillet, quand il l’avait accosté, lui avait "touché les parties intimes et les seins et tenté de l’étrangler", rappellent les médias.

Recherché pendant trois ans

Il était recherché depuis trois ans, sans que les forces de l’ordre aient jusqu’à maintenant réussi à l’identifier. Fin septembre 2015, les policiers ont été informés que la fiche ADN du violeur recherché est répertoriée dans le Fichier national des empreintes génétiques (FNAEG).

D’après l’enquête, l’homme est suspecté d’avoir commis un viol et quatre agressions sexuelles en Eure-et-Loir et deux agressions dans les Yvelines. D’après Info Normandie , l’individu ne s’en prenait « qu'à des femmes, parfois de très jeunes adolescentes, mais aussi des mères de famille, toujours sur la voie publique ». Il agissait également à visage découvert. La première de ses victimes recensées est une jeune fille de 20 ans, en 2012 : elle lisait au bord d’un étang, à Condé-sur-Vesgre, quand il l’avait agressé. Le peintre suspect, interpellé à son domicile, est actuellement en garde à vue à Viroflay. Les enquêteurs veulent tenter de savoir s’il y a d’autres victimes.

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La rédaction de TF1info

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