FOOTBALL - Malgré des Lyonnais volontaires, le banc parisien a fait toute la différence en fin de match (2-1).
La routine parisienne. Les matches se suivent, les années s'enchaînent et le PSG, même sans impressionner, arrive toujours à ses fins. Alors, bien sûr, les mauvaises langues diront que le club qatari est bien aidé par les arbitres, comme face aux Lyonnais où les Parisiens ont ouvert le score sur un but triplement invalide de Rabiot (1-0, 17e minute) - hors-jeu de Rabiot, mais de Lavezzi et ballon récupéré alors qu'il était sorti des limites du terrain (!!!).
Coaching gagnant de Blanc qui fait entrer Di Maria et Lucas, passeur et buteur dans la foulée
Mais Paris suit sa feuille de route : refaire le triplé en France et enfin atteindre les demi-finales de la Ligue des champions. Pour ce faire, les hommes de Laurent Blanc devront quand même sérieusement serrer la vis en défense, notamment sur les coups de pied arrêtés. Car c'est bien trop seul au second poteau sur un corner que Tolisso a pu contrôler et ajuster Sirigu d'une frappe surpuissante à bout portant (1-1, 42e).
Lyon a montré de l'envie, parfois de belles choses et surtout un nouveau visage qui semble bien confirmer l'effet Bruno Génésio. Reste qu'en cador européen qu'il est devenu en quelques années, le PSG a les moyens de faire sortir de son banc des joueurs comme Angel Di Maria et Lucas Moura passé l'heure de jeu. C'est d'ailleurs le premier qui a adressé une merveille de passe au second pour le but de la victoire (2-1, 73e). Bref, Paris c'est fort, même quand ça ne brille pas.
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