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Dressé devant le mur de la paix avec un t-shirt "Musulmans contre le terrorisme", Hassen Chalghoumi aime rassembler différents symboles. D'abord, il manifeste pour la paix : "C'est une journée de mémoire envers toutes les victimes qui sont parties au nom de la barbarie." Selon lui, les terroristes du 13-Novembre, affiliés à l'organisation Etat islamique, ne sont pas musulmans. "Quand quelqu'un salit ma religion [...], je sors, c'est mon devoir [...] de les dénoncer." Lui, les qualifie de "criminels", de "barbares".
Les commémorations des attentats sont, pour lui, l'occasion de réaliser un travail de mémoire et d'éduquer les jeunes générations. "C'est un travail important de pédagogie pour la jeunesse," défend Hassen Chalghoumi, venu à Paris lundi 13 novembre accompagné de jeunes musulmans du quartier de Molenbeek, à Bruxelles, et de Nice. Il espère délivrer un message d'espoir : "Les milliers de Daech ne sont pas les 1,5 milliards de musulmans."
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