DESTIN - Samedi, Juan Jose Padilla s'est à nouveau fait encorner à l'œil lors de la corrida de la Feria del Pilar, à Saragosse, en Espagne. Il n'a pas de blessure sérieuse. Comment est-ce possible ? Il été "protégé" par son cache œil, car le même accident lui était déjà arrivé quelques années avant, dans la même arène.
Cinq ans après, même arène, même œil. Samedi, Juan Jose Padilla s'est à nouveau fait encorner à l'œil lors de la corrida de la Feria del Pilar, à Saragosse, en Espagne. Il n'a pas de blessure sérieuse. Comment est-ce possible ? Il été "protégé" par son cache œil, car le même accident lui était déjà arrivé quelques années avant, déjà à Saragosse.
Il y a cinq ans, le torero était devenu le "pirate". Ce jour-là, il avait été gravement blessé, encorné au niveau de l'œil. Il avait survécu, mais devint borgne. Depuis il continue à toréer avec un cache-œil de pirate.
Six mois après le drame, Juan José Padilla, déjà blessé plusieurs fois dans le passé, avait dit aborder son métier dans un état d'esprit inchangé, "à 100%" de ses capacités. "Je suis conscient de ma responsabilité et je ne mettrai jamais en danger la vie de mes compagnons de cartel", assurait-il, disant qu'il n'aimait pas le terme de "héros" qu'on lui associait déjà souvent.
Né le 23 mai 1973 à Jerez de la Frontera, en Andalousie, il a grandi dans l'univers tauromachique. "Mon père était très proche de ce monde-là et je ressentais une attraction spéciale quand il m'emmenait dans les ferias. Pour moi, les toreros étaient des dieux, des gens uniques", se souvient-il.
ZARAGOZA Foto : @cultorocom pic.twitter.com/UNujyXyBvG — Juan Jose Padilla (@Padillaelpirata) 16 octobre 2016