Le fait divers du jour : soupçonné de pédophilie, il conservait 50 cadavres de chat chez lui

Publié le 12 septembre 2014 à 11h00
Le fait divers du jour : soupçonné de pédophilie, il conservait 50 cadavres de chat chez lui

ÉTATS-UNIS - Venue arrêter un homme pour détention de matériel pédopornographique, la police de Floride a fait une découverte pour le moins inattendue : 50 cadavres de chat conservés dans plusieurs congélateurs.

Metronews a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour…

"J'ai remarqué que quelques chats portaient des couches. Il leur donnait du lait", raconte un jeune garçon dans le Palm Beach Resort, qui rapporte cette étrange affaire. Doug Westcott n'était pas un voisin comme les autres. Pourtant, personne ne semblait se douter de ce qui se tramait dans sa maison située à Lake Worth, à Palm Beach, en Floride. Il aura fallu attendre une descente de police, mercredi matin, au domicile de cet homme de 55 ans, pour voir son vrai visage.

Venue arrêter un homme pour détention de matériel pédopornographique, la police de Floride a fait une découverte pour le moins inattendue : 50 cadavres de chat conservés dans plusieurs congélateurs. Doug Westcott hébergeait également 35 chats bien vivants, eux, dont les multiples bacs de litière débordant d'excréments diffusaient des odeurs nauséabondes telles que les agents de la police du comté de Palm Beach ont dû porter des masques pour intervenir, selon The Palm Beach Post.

"Dès que vous passiez devant la maison, vous sentiez l'odeur"

Les voisins du quinquagénaire ont évoqué son attitude étrange, sa propension à se déplacer sans chemise et à essayer de donner des petits cadeaux aux enfants. Selon eux, l'odeur pestilentielle se répandait au-delà des murs de la maison. "Je ne savais pas qu'il y avait des chats morts à l'intérieur de la maison. Mais, dedans comme dehors, les chats se promenaient partout. Dès que vous passiez devant la maison, vous sentiez l'odeur", témoigne Dorleus, un habitant du quartier.

David Walesky, responsable d'une organisation locale de protection des animaux, a expliqué au journal que Doug Westcott avait refusé de se séparer des chats vivants. Un juge doit décider dans les trente jours du devenir des félins. Il a également précisé que, par manque de fonds, des autopsies ne seraient réalisées que sur quelques-uns des chats retrouvés morts.
 


La rédaction de TF1info

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