MALAISE - Alain-Fabien Delon était invité de l’émission Quotidien sur TMC ce mardi 5 février. Venu présenter son livre, le romancier a fait l’unanimité… contre lui sur les réseaux sociaux. Petit passage en revue.
Bien loin de l’aura de son père, Alain-Fabien Delon a mis longtemps à faire parler de lui. Mais l’année 2019 a pourtant bien commencé . A l’affiche du film Jeunesse dorée (en salles depuis le 16 janvier), il vient surtout de publier son premier roman : De la race des seigneurs. Une trame semi-autobiographique, qui raconte l’histoire d’un jeune homme de 18 ans qui veut devenir acteur comme son père. Ce mardi 5 février, il était l’invité de Yann Barthès chez Quotidien (TMC) pour évoquer ces deux actualités. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’est mis tous les internautes à dos.
Comme le relèvent Closer ou encore Programme TV, le jeune homme a fait sourire à plusieurs reprises son auditoire lorsqu’il s’est osé à quelques comparaisons, notamment vis-à-vis de son père. "Je lui ressemble jusqu'à un certain point. Je ne suis pas aussi fermé, je suis plus ouvert que lui. Après, dès qu'on en est à des décisions qui concernent ma profession ou ma vie au point le plus basique, oui, je vais prendre des décisions en me demandant comment lui il aurait fait", a-t-il dit notamment.
Arrogance et égocentrisme
Mais Alain-Fabien Delon ne s’est pas cantonné à cela. De manière parfois hautaine, il a d’abord demandé à l’animateur phare de la chaîne s’il avait lu son roman. Puis a assuré, alors qu'on lui notifiait que le roman semblait bien autobiographique : "C’est pas ma vie, c’est hautement romancé. J’ai pas envie de me retrouver dans cette case de fils qui fait une autobiographie trash comme tout plein de gens le font".
Quotidien lui a également demandé de préciser pourquoi il avait choisi ce titre pour son livre. A quoi il a répondu de manière plutôt étonnante : "On n'avait pas de titre en fait". Puis : "Il nous le répétait assez souvent quand on avait un coup de mou (…) Si j’ai un coup de mou, je vais l’appeler et lui dire : ‘Ecoute Papa, dis-moi d’où je sors, dis-moi qui je suis ?’ Et il vous dira : ‘T’es un Delon, oublie pas qui tu es, n’oublie pas d’où tu viens. Et tu es de la race des seigneurs, mon fils". Rire général dans la salle, mais malaise donc chez les internautes qui se sont empressés de tweeter.
Vu la prétention des membres de cette famille, nous allons renommer l'expression "avoir le melon" par "avoir le Delon". #Delon #Quotidien — Coucou, tu veux voir mon tweet ? (@antytilo29) 5 février 2019
Le malaise incroyable de l'interview de Alain Fabien Delon dans #Quotidien . pic.twitter.com/5aXq8prNXK — Velvetman (@velvetmannn) 5 février 2019
@Qofficiel en Fait c'est pas Alain Fabien Delon, c'est Alain Fabien Melon. #Quotidien #TMC pic.twitter.com/EgmG3GU6se — Max la Menace (@mascou47) 5 février 2019
Les gars on tient un candidat sérieux pour le malaise le plus intense de l'année grâce au fils Delon #quotidien — Arthur Pallu (@itsjustarthur) 5 février 2019
Si l'arrogance avait un nom : Alain-Fabien Delon. #Quotidien — Maka Dx Id (@zer0sage) 5 février 2019
Ok Jean-Alain-André-Fabrice Delon De La race des Seigneurs de Montmirail, toi, ton reup, ta condescendance, ta façon déplacée de tutoyer tout le monde et ta prétention, je ne vous aime pas du tout. Et vous m'êtes terriblement insupportable. #Quotidien pic.twitter.com/pBg02oymG9 — Karma (@KiddoLG) 5 février 2019
L'ego monumental du fils Delon, c'est incroyable ! Il transpire l'arrogance, il s'pense au dessus. #Quotidien — 🍃.Q u e n t i n. 🌿 (@QuentinPnda) 5 février 2019
Alain-Fabien Delon - La gênance du moment. pic.twitter.com/jQo3BcbN85 — Cherry-b Blossom (@CherrybBlossom1) 5 février 2019
Je voulais tweeter un ou deux trucs sur le fiston de Delon mais bon mes parents m’ont appris à ne pas tirer sur une ambulance déjà bien chargée. #Quotidien pic.twitter.com/cLkW62BgiN — Isabel Garchet (@IsabelGarchet) 5 février 2019
A noter qu’Alain-Fabien Delon a dressé un portrait quelque peu à charge de son père, Alain. "Je ne pète pas des câbles, je suis calme, je suis gentil, je souris, je ne fais pas trop la gueule", a-t-il lancé, manière de se comparer à lui.
Des propos qui corroborent sa dernière sortie dans le magazine Elle début février, où il avouait des sentiments ambivalents envers son père. "Pendant des années, j'ai vécu en attendant qu'il claque, maintenant, j'espère qu'il va vivre bien longtemps pour me voir arriver très haut". Reste à savoir désormais ce qu’en pense le principal intéressé.