COUP DE SANG - Lorsque cela ne lui plait pas, Linda de Suza n'y va pas par quatre chemins pour vous faire comprendre qu'elle est énervée. Un journaliste vient d'en faire les frais.
En pleine tournée promotionnelle pour son livre, Linda de Suza est au salon de Villers-sur-mer, ce week-end. Qui dit tournée promotionnelle, dit interview avec la presse locale et c'est là qu'est l'os, pour nos confrères de la publication "Le pays d'Auge", cela ne s'est pas tout à fait passé comme prévu.
Venue présenter son livre Des larmes d'argent, Linda de Suza a d'emblée préciser qu'elle venait au Salon, bénévolement, sans toucher d'argent. Puis, comme le raconte notre confrère, tout a dérapé.
"Vous n’avez pas de c*******"
Le journaliste la relance en lui posant une question et
Linda de Suza le sanctionne immédiatement
: "Laissez-moi parler. Maintenant, vous allez appeler le ministère de l’Intérieur et l’Elysée, car ma date d’entrée en France a été trafiquée, a-t-elle ordonné. Tout le monde le sait, Hollande, Valls… Les documents ont été signé par des policiers et personne ne fait rien. Je suis clandestine depuis 46 ans…", a lancé la chanteuse.
Sentant cette dernière partir un peu loin, notre confrère tente de la ramener un peu à la raison en réorientant son interview sur son actualité littéraire. Que n'avait-il pas fait. La chanteuse s'est alors emportée : "Aucun journaliste ne fait son travail, même vous car vous n’avez pas de c*******. C’est à vous de dire que les gens qui nous gouvernent sont de la m****. Alors si vous n’écrivez pas ce que je vous dis, j’arrête l’interview". Et c'est précisément ce qu'a fait Linda de Suza.
Depuis quelques mois, chaque interview de l'ancienne gloire de la chanson est un peu surréaliste. Récemment, on a appris qu'elle avait prédit les événements du 11 septembre 2001, l'effondrement des tours jumelles en prévenant Claude Chirac et qu'elle s'était prostitué durant sa jeunesse. Récemment, on apprenait qu'elle était ruinée et avait été victime d'une usurpation d'identité. Une affaire qui semble beaucoup la travailler...