La visite de François Hollande en Grèce est d'abord "une visite politique parce que rendez-vous avait été pris après le sommet du 12 et 13 juillet quand François Hollande a joué le rôle de sauveteur et a évité le Grexit", explique sur LCI Yves Bertoncini, directeur de l'Institut Jacques Delors. "La différence c'est que maintenant ce sont deux hommes d'Etat qui se rencontrent. Alexis Tsipras n'est plus un leader de la gauche radicale, c'est vraiment un homme d'Etat. Il a un mandat clair pour sortir son pays de ses maux structurels".
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