REPLAY - Municipales 2020 : revivez le débat entre les sept principaux candidats à la mairie de Paris

Publié le 5 mars 2020 à 0h21, mis à jour le 5 mars 2020 à 1h34

Source : TF1 Info

POLITIQUE - Ce mercredi soir, Agnès Buzyn, Cédric Villani, Anne Hidalgo, David Belliard, Rachida Dati, Serge Federbusch et Danielle Simonnet, les principaux candidats à la mairie de Paris, se sont rencontrés pour la première fois dans La Grande Confrontation sur LCI. Près de 3 heures de débat à dix jours du premier tour des élections municipales. Sécurité, propreté, budget, climat, social... Ils ont pu aborder de nombreux aspects de leurs programmes.

Ce live est à présent terminé. 

FIN DU DÉBAT 


Merci à tous d'avoir suivi ce Live, bonne soirée ! 

CONCLUSIONS 


Lors de leurs conclusions, les candidats ont une minute ou moins de parole. 


Danielle Simmonnet  veut un "Paris de l’entraide, un Paris qui respire". Elle insiste pour  "encadrer et baisser les loyers, la gratuité des transports, insérer une garantie universelle pour les personnes en dessous du seuil de pauvreté".


Serge Federbush rejette en bloc la politique de la maire sortante. "Ceux qui ne veulent plus de la politique d'Anne Hidalgo doivent s'en donner les moyens". Il propose de "faire en sorte qu'il n'y ait pas d'arrangement crapoteux derrière le dos des parisiens", sur les questions de la circulation ou du logement notamment.


La candidate LR Rachida Dati prévient elle sur une élection qui est "quitte ou double : soit nous sauvons Paris, soit nous la condamnons au déclin".


David Belliard énumèrel lui les défis "exceptionnels" tant écologiques qu'économiques qui font face à Paris. Il promet de mettre en oeuvre des solutions pour rendre "Paris plus accessible", pour "arrêter avec le tout-déchet". "Nous sommes pleinement engagés pour que l’écologie ne soit pas juste un mot", termine-t-il.


Buzyn s'en prend une nouvelle fois à Anne Hidalgo. "Paris a été malmenée et mal gérée". Il faut une "alternative pour Paris". Elle priorise la sécurité, propreté environnement et solidarité


La maire sortante Anne Hidalgo interroge : "à qui voulez-vous confier l'avenir de votre ville ?". Elle prévient : "il y a un vrai risque de retour en arrière, nous l’avons entendu ce soir. Celles et ceux qui nient l’urgence écologique, ceux qui estiment que l’écologie est punitive celles et ceux qui ne veulent pas faire de logement social". 


En clôture finale du débat, Cédric Villani appelle lui à faire "le pari de l'audace de changer d'air avec la possibilité de bâtir cette nouvelle page".

VILLANI VEUT 3000 LOGEMENTS POUR LES SDF 


Comment loger les sans abris ? Interrogé par un jeune Parisien, Cédric Villani veut ouvrir "3000 logements pour accueillir des personnes SDF et leur donner un accompagnement médical, social, jusqu’à l’insersion". 

CORONAVIRUS 


La ville est-elle prête à une épidémie de Covid-19 ? 


"Nous sommes organisés avec le préfet de Paris", explique Anne Hidalgo, qu'elle voit tous les jours. Tous est mis en oeuvre pour retarder l'entrée dans le stade 3 de l'épidémie. 


Pour Agnès Buzyn, la maire doit être "préparée". "La seule chose qu'on demande à un maire aujourd'hui c'est d'anticiper". 


Cédric Villani ne veut pas lancer de "polémique" sur le sujet du coronavirus, et rend "hommage" au personnel soignant. 


Danielle Simonnet elle profite de cette question pour attaquer Agnès Buzyn sur la question de la crise à l'hôpital. 


Pour Serge Federbusch, "il faut installer des caméras thermiques aux frontières de Paris" contre le virus qui est "un vrai danger".


Rachida Dati quant à elle salue l'implication du personnel soignant et se dit "confiante" dans le système de santé français. 

"J'AI QUITTÉ LE MINISTÈRE POUR ÊTRE MAIRE"


"Je ne voulais pas être dans la liste de Benjamin Griveaux en troisième position" explique Agnès Buzyn, piquée par Anne Hidalgo au sujet de son arrivée tardive dans la campagne. Quand "l'occasion s'est présentée", l'ex ministre de la Santé s'est portée candidate car elle "veut être maire de Paris".

FEDERBUSCH DÉNONCE DES "DETTES MASQUÉES"


Sur la question des finances publiques de la ville, le candidat RN dénonce une "situation de crise budgétaire", estimant qu'il y a "beaucoup de dettes masquées", et qu'il existe une "menace" pour les parisiens d'une "augmentation des impôts importante". Le candidat veut baisser les taux d'imposition de 10%.

CONVERGENCE SUR LE LOGEMENT


Cédric Villani, Rachida Dati et Agnès Buzyn s'accordent tous sur le fait de "redonner la confiance" aux propriétaires pour raviver le marché de la location des logements vacants.


A l'annonce du programme de David Belliard sur le logement, Agnès Buzyn réplique directement, décrédibilisant le candidat EELV qui "fait partie de la majorité municipale", et qui "n'a rien fait pendant six ans". 

CACOPHONIE 


David Pujadas rappelle à l'ordre les candidats qui ne respectent pas les paroles des uns et des autres sur la question de la régulation du marché de l'immobilier. Il demande notamment à Rachida Dati de "ne pas aggraver" son temps de parole.

LE LOGEMENT 


Faut-il encadrer ou bloquer les loyers ? 


Danielle Simmonet veut baisser les loyers, pour "exercer un pouvoir sur le marché de l'immobilier" qui reviendrait à la municipalité.


Serge Federbusch estime lui que le blocage des loyers va aboutir à la dégradation du bâti. Il préconise une baisse des loyers par une augmentation de l'offre. En particulier par la vente des logements sociaux à leurs habitants. "A vouloir augmenter le stock des logements sociaux, la mairie n'a pas su les maintenir en état", dénonce-t-il. 


Cédric Villani est lui aussi favorable à l'encadrement des loyers. Il signale un "nombre considérable" de logements vacants à Paris. Pour contrer ce phénomène, il veut "redonner la confiance" aux propriétaires qui "n'osent plus" louer leurs biens. 


Rachida Dati rejoint Cédric Villani et veut rétablir de la "confiance" sur le marché locatif, ce qu'elle a fait dans le VII° arrondissement de la capitale. Elle compte passer par des aides juridiques par exemple. Elle veut "revoir la composition" des logements sociaux, dont la proportion "dessert" les classes moyennes notamment. 


Sur cette question, Anne Hidalgo souhaite le maintien de cet encadrement des loyers. Elle défend un bilan "depuis 2001 avec Betrand Delanoë" de logements sociaux, avec des "loyers abordables". Sur le marché privé, elle veut outre la construction, transformer des bureaux en logements et instaurer un partenariat public/privé.

TENSIONS SUR LA BETONISATION 


Sur la question des espaces verts dans Paris et la bétonisation, prise de bec entre Rachida Dati, David Belliard et Danielle Simonnet. 


Alors que le candidat EELV défend la "préservation des espaces verts" et "arrêter les projets de bétonisation", Rachida Dati l'attaque en estimant qu'ayant partagé le mandat avec Anne Hidalgo, il en "partage le bilan désastreux".

DANIELLE SIMONNET PROPOSE UN "RIC LOCAL"


Pour permettre aux parisiennes et parisiens de "reprendre le contrôle sur leur ville", la candidate LFI propose de consulter directement les citoyens pour les inclure dans les décisions centrales. Elle propose ainsi d'organiser des référendums d'initiative populaire (RIC).


"Au lieu de penser la ville, ce sont les intérêts privés qui ont fait la ville". La candidate veut faire en sorte que les citoyens se "réapproprient la ville". Par exemple, Danielle Simonnet voudrait proposer un RIC sur l'organisation des Jeux Olympiques 2024, qu'elle désapprouve. 

SERGE FEDERBUSCH


"Supprimer 60 000 places de stationnement dans Paris c'est le chaos total dans Paris" attaque Serge Federbusch, en référence au programme d'Anne Hidalgo. Réélire la maire sortante mènerait pour lui à "l'interdiction des voitures individuelles de circuler dans Paris". La suppression d'une "liberté de circuler"pour le candidat RN, qui dénonce la"démagogie" de cette candidate.

"QUAND VOUS IMPOSEZ, VOUS OPPOSEZ"


Toujours sur la question de la mobilité, Rachida Dati attaque Anne Hidalgo, estimant que la "mobilité punitive" de la maire sortante a pour effet d'opposer les parisiens. "Quand vous imposez, vous opposez", explique-t-elle, pointant le manque de concertation avec les citoyens.

HIDALGO SE DÉFEND SUR LA PIETONISATION 


"Il faut continuer à diminuer la place de la voiture à Paris", aller vers "une autre mobilité" avec d'autres solutions qui sont en premier les "transports en commun". 


Pour la candidate PS, il "n'y a pas d'embouteillages en plus" qu'avant la piétonisation des voies sur berges. Elle justifie une "question de santé publique". 

MOBILITÉ 


La place de la voiture doit-elle encore être réduite à Paris ? 


A cette épineuse question, Agnès Buzyn attaque d'emblée la politique de piétonisation d'Anne Hidalgo lors de son mandat, estimant que la maire sortante utilise une méthode qui "crée des problèmes avant d'offrir des alternatives  aux citoyens". "Bien sur nous devons aller vers plus de mobilité propre, mais en commençant par les solutions avant de commencer par la punition", explique-t-elle. 


Cédric Villani défend lui un plan "métropolitain". Il axe donc son programme à l'aménagement et l'automatisation du métro parisien pour permettre "plus de confort et de débit". 


Daneille Simonnet veut interdire les SUV, et limiter la vitesse à 20 ou 30 km/h pour répondre à une "urgence". Elle pointe les trottinettes électriques en libre service qui sont "une aberration écologique". Pour y remédier, elle pense que la gratuité des transports et l’installation de plus de pistes cyclables serait un moyen efficace.


David Belliard veut aller "vers autre chose » que la voiture individuelle. Il salue la politique d'Anne Hidalgo, estimant même qu'"il faut aller plus loin, on a pris du retard".


Pour le candidat RN Federbush, "on ment aux citoyens". La réalité "c’est que sa politique est un mensonge total" puisque la "pollution n’a pas diminué", elle cherche à "punir les automobilistes" . Il veut rouvrir les berges parisiennes aux voitures, sauf le weekend. 


Quant à Rachida Dati, elle veut refaire un schéma de mobilité avec un conseil scientifique pour donner un schéma de mobilité "fluidifié". Elle dénonce une politique d’Anne Hidalgo qui "n’est pas efficace". Elle ne veut néanmoins pas revenir sur la piétonisation des voies sur berges. 

"POUBELLES SOLAIRES COMPACTANTES"


Cédric Villani propose comme les autres une "politique zéro déchet", "d'accompagner le personnel", avec "tout le respect qu'ils méritent". Il souhaite intégrer la technologie pour "faciliter" le travail des éboueurs. 

AGNES BUZYN APPELLE AU "PRAGMATISME"


Attaquée sur la question de la propreté par Agnès Buzyn, qui estime qu'elle "promet de faire ces six prochaines années tout ce qu'elle n'a pas fait les six dernières", Agnès Buzyn préconise des"moyens supplémentaires", d'accroître le nombre de poubelles de rues, et appelle à une "gestion plus locale" des déchets.


Selon elle, "il faut rester "pragmatique" entre le statut public et privé.

LA PROPRETÉ 


Tous les candidats trouvent la ville trop sale. C'est l'une des préoccupations numéro 1 des Parisiens. 


Danielle Simonnet veut "que Paris s'engage dans une démarche zéro déchets". Tri, compost, lutte contre le suremballage... Il faut agir en amont, au niveau national, pour ce "sujet central", selon la candidate LFI, qui préconise aussi une inclusion qui concernerait les habitants de chaque quartier. 


A l'inverse, Agnès Buzyn souhaite privatiser le ramassage des déchets. Elle veut mettre "2000 agents de nettoiement. L'ex-ministre de la Santé pique Anne Hidalgo sur sa politique de déchets, estimant qu'elle "ne permette même pas aux parisiens de trier leurs déchets". Elle promet que son action sera visible dès les "100 premiers jours" de son mandat. 

CAMERAS DE SURVEILLANCE 


Agnès Buzyn veut multiplier par 4 le nombre de caméras de vidéosurveillance à Paris. Un chiffre excessif pour Cédric Villani, pour qui salue l'utilité de ces dispositifs, quand "c'est bien combiné" avec le travail de la police municipale.


Anne Hidalgo a elle augmenté de 1105 à 1400 le nombre de caméras de vidéosurveillance lors de son mandat, elle s'aligne sur Villani estimant qu'il faut utiliser "à bon escient" ces caméras, qui "travaillent en complément".

SÉCURITÉ


Faut-il armer la police municipale ?


David Belliard candidat de "l'Ecologie pour Paris" souhaite "remettre des agents dans les rues", en promettant d'engager 400 agents supplémentaires, mais sans les armer, tout comme Anne Hidalgo. 


A l'inverse, Agnès Buzyn veut une police "armée et formée". Tout comme Cédric Villani, et Rachida Dati, qui fait de ce thème un des axes forts de sa campagne. La candidate LR pique Anne Hidalgo sur son bilan à ce sujet là. 


Quant à Danielle Simonnet, les "61 millions d'euros" de budget dans la police serait mieux investi dans le "relogement des personnes en situation de précarité."

DANIELLE SIMONNET


La candidate France insoumise ferme la première partie du programme. Une de ses mesures phares : garantir des vacances pour les écoliers parisiens comme un "droit universel".

Son souhait pour Paris :  "que Paris devienne à nouveau une vraie ville de l''entraide, une vie qui respire, une ville où l'on respecte les quartiers populaires".

SERGE FEDERBUSCH 


Un des grands axes du programme du candidat Rassemblement national est la sécurité : il souhaite armer la police municipale pour qu’elle puisse "agir en symbiose", avec des "rondes de citoyens", qui serait selon lui un moyen d"identifier les foyers de délinquance". Son but : "retrouver les sources démocratiques de la police". 


Il accuse par ailleurs Anne Hidalgo d'avoir "accueilli" les migrants étrangers installés dans des camps à Paris.

RACHIDA DATI PIQUE ANNE HIDALGO


Celle qui est parmi les favoris dans les sondages pointe une "anarchie" dans Paris instaurée par Anne Hidalgo, en référence aux travaux très nombreux en cours dans la capitale. C'est l'un des points opposés régulièrement à la maire sortante. 

DAVID BELLIARD


Le candidat EELV souhaite "aérer" Paris. "Il faut se donner des moyens" contre la "bétonisation de la ville" explique-t-il, précisant qu'il est le "seul à avoir affiché comment j'allais financer les propositions" de son programme.

AGNÈS BUZYN 


Au tour de l'ex ministre de la Santé de prendre la parole. Celle qui a remplacé au pied levé Benjamin Griveaux à la suite de son retrait de la campagne compte défendre un point dans son programme qui lui tient à cœur : celui de la démographie, "un des défis de cette ville". 

"Paris va vieillir, et nous devons recréer un lien social", explique-t-elle.


"J'’ai l’impression qu’avec madame Hidalgo on ne vit pas dans la même ville : elle parlait d'espace apaisée en parlant des quais, je pense que sil y a une chose que les Parisiens ne ressentent pas aujourd’hui, c'est une ville apaisée."

ANNE HIDALGO 


La maire sortante vient défendre un projet qui s’inscrit dans la continuité de celui de Bertrand Delanoë, l'ancien maire PS de la ville, qui a "ouvert la voie à un Paris qui change d'air".

La candidate PS défend notamment son bilan écologique, avec un "trafic automobile réduit de 44%" depuis le début de son mandat, et une "pollution atmosphérique réduite de 30%".

CÉDRIC VILLANI 


"Le retour des vieux clivages, la gauche contre la droite, c'est précisément ce que je veux éviter", explique le candidat LREM dissident. 

Il a apporté avec lui une photo d'un école pour symboliser "son Paris" : "le symbole du Paris que je veux : c’est dans les écoles que se construit le Paris de demain".

C'EST PARTI 


La Grande Confrontation vient de commencer. On vous rappelle le déroulé de la confrontation : 

Chaque candidat a 5 minutes pour présenter  son programme lors d'un entretien.

S'en suivra un débat de 90 minutes autour de trois grands thèmes, puis un questionnaire : une question posée à chaque candidat de 7 jeunes parisiens. 

Enfin, chacun des aspirants à la mairie de Paris aura une minute pour conclure. 


Cédric Villani a été tiré au sort pour commencer l'entretien avec David Pujadas. 

DERNIERS PRÉPARATIFS 


A quelques minutes de la confrontation, le plateau est en place. La maire sortante Anne Hidalgo (PS) sera installée à côté de Rachida Dati (LR). Les deux candidates sont au coude à coude dans les sondages. Le dissident Cédric Vallani sera lui à côté d'Agnès Buzyn, qui mène la liste LREM. 

Les thèmes choisis ont été regroupés en trois ensembles: propreté-aménagement-sécurité, écologie-mobilité-santé, économie-logement-budget-solidarité-social.

SONDAGE


L'enjeu est de taille pour les trois candidates qui font la course en tête dans les sondages: selon une enquête de Harris Interactive-Epoka diffusé mardi, Rachida Dati continue de progresser (25%), devançant Anne Hidalgo (24%) et la LREM Agnès Buzyn (17%). Viennent ensuite l'écologiste David Belliard (11%) et le député congédié de LREM Cédric Villani (8%) - tous deux à la peine après avoir flirté avec les 15% -. Enfin, en bas du tableau, l'Insoumise Danielle Simonnet (5%) et le candidat soutenu par le Rassemblement national Serge Federbusch (4%).

CE QU'ILS ATTENDENT DU DÉBAT 


Ce soir, les candidats auront 5 minutes chacun pour présenter leur programme, avant de se lancer dans le Grand Débat. Qu'attendent-ils de cette confrontation ? 

Municipales à Paris : qu'attendent les sept candidats du débat ?Source : Sujet JT LCI

PRÉSENTATION DES CANDIDATS 


Danielle Simonnet, Anne Hidalgo, Agnes Buzyn, David Belliard, Rachida Dati, Serge Federbusch, Cedric Villani... connaissez-vous les aspirants à la mairie de Paris ? 

SUIVEZ LE DÉBAT AVEC NOUS


Bonsoir à tous, bienvenue dans ce live spécial Grande Confrontation. Tout au long du débat entre les 7 candidats à la mairie de Paris ce soir, l'équipe de lci.fr et sa cellule de fact checking sont mobilisés pour vous faire suivre les moments forts, les analyses, et les réactions autour de cette rencontre. 

A onze jours du premier tour des élections municipales, les sept principaux candidats à la mairie de Paris vont s’affronter en direct sur LCI (canal 26). Ce mercredi à partir de 20h45, ils débattront sur le plateau de David Pujadas lors de La Grande confrontation. 

Seront présents : Anne Hidalgo (PS), Rachida Dati (LR), Agnès Buzyn (LaREM), David Belliard (EELV), Cédric Villani (dissident LaREM), Danielle Simonnet (La France insoumise) et Serge Federbusch (RN). Ils aborderont les thèmes de la propreté, la sécurité, l’environnement, la mobilité, le logement ou encore le budget.

Selon un sondage LCI publié mardi 3 mars, la maire du 7e arrondissement Rachida Dati arriverait en tête au premier tour des élections (25%), devant la maire sortante Anne Hidalgo (24%). Plus loin derrière arrivent la remplaçante de Benjamin Griveaux Agnès Buzyn (17%), David Belliard (11%), Cédric Villani (8%), la liste La France insoumise (5%), et la liste Rassemblement nationale (4%).


La rédaction de TF1info

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