Confinement : à quoi faut-il s'attendre dans les transports ?

Le chef de l'État a annoncé le confinement du pays avec une forte réduction des déplacements pour lutter contre la propagation du coronavirus. Alors, qu'est-ce que cela va changer concrètement pour les transports ?
La SNCF prévoyait un train sur deux pour mardi. En Île-de-France, il faudra compter avec deux métros sur trois et 70% des bus, mais le trafic devrait diminuer et n'être réservé qu'à certains déplacements professionnels, pour les personnels de santé notamment. Dans les autres régions, les transports publics urbains tourneront au ralenti. En outre, la quasi-totalité des avions restera clouée au sol.
Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 20H du 16/03/2020 présenté par Gilles Bouleau sur TF1. Vous retrouverez au programme du JT de 20H du 16 mars 2020 des reportages sur l’actualité politique économique, internationale et culturelle, des analyses et rebonds sur les principaux thèmes du jour, des sujets en régions ainsi que des enquêtes sur les sujets qui concernent le quotidien des Français.
Toute l'info sur
Le 20h
Sur le même sujet
VIDÉO - À quoi ressembleront les écrans des téléphones portables du futur ?
Covid-19 : face au virus, des lampes capables de désinfecter l'air
VIDÉO - Pourquoi l'essor des voitures électriques menace l'avenir des garagistes
Croque-mort, agent immobilier... ces restaurateurs qui changent de job pour survivre
Vous êtes nul en géographie ? Trois astuces pour placer les pays sur une carte
Supermarchés : la colère d’une éleveuse contre des côtes de bœuf à 9,50 euros le kilo
Les articles les plus lus
Covid-19 : pourquoi le nombre de jeunes en réanimation continue d'augmenter ?
La mort d'Olivier Dassault complique un peu plus la succession à la tête de l'entreprise familiale
EN DIRECT - Covid : 40% des activités médicales et chirurgicales déprogrammées dans les hôpitaux franciliens
Patrick J. Adams, le mari de Meghan dans "Suits", dénonce l'attitude "obscène" de Buckingham
La vaccination obligatoire des soignants "reste une possibilité", rappelle Gabriel Attal