L'Hexagone a choisi de dépister les cas les plus graves. C'est une décision dictée par la pénurie de matériels et la lourdeur du processus. Des laboratoires travaillent aussi à la mise au point de futur dispositif beaucoup plus simple et plus rapide.
L'Hexagone a choisi de dépister les cas les plus graves. C'est une décision dictée par la pénurie de matériels et la lourdeur du processus. Des laboratoires travaillent aussi à la mise au point de futur dispositif beaucoup plus simple et plus rapide.
Le pays rattrape peu à peu son retard et pourra bientôt dépister 5 000 par jour, grâce à la technique de prélèvement dit tests "nasopharyngés". Malgré les failles dénoncées par des laboratoires français, ces tests restent nécessaires et les lignes de fabrication fonctionnent à plein régime. Le dépistage réalisé par scanner semble pourtant le plus efficace. Enfin, même si le test sérologique est encore au stade expérimental, il sera utile pour gérer la fin du confinement et pour éviter un deuxième pic de l'épidémie.