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Dans l'affaire Sauvage, les épisodes se suivent... et se ressemblent. Après que la cour d'appel de Paris a confirmé le rejet de sa demande de libération conditionnelle, jeudi 24 novembre, Jacqueline Sauvage ne devrait pas se pourvoir en cassation afin de contester cet arrêt.
Un renoncement qui en rappelle un autre. Cet été, en effet, alors que le tribunal d'application des peines de Melun venait de refuser, pour la première fois, la demande de libération anticipée de la sexagénaire en partie graciée par François Hollande, Me Bonaggiunta et Tomasini, ses avocates, avaient faire savoir que leur cliente, épuisée, ne chercherait plus à se battre. Avant de faire volte-face, quelques jours plus tard, et de former un appel... avec le succès qu'on lui connaît.
Une demande prématurée
Alors doit-on s'attendre à un nouveau revirement de situation dans les jours à venir ? Les juges, en tout cas, conseillent fortement à Jacqueline Sauvage de patienter encore un peu avant de formuler une nouvelle demande. Selon les motivations de l'arrêt que LCI a pu consulter, ils ont en effet estimé que sa liberté retrouvée serait, pour le moment, prématurée.
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